Jean-Pierre Président !!!

La nouvelle est d’importance : le 11 juillet après la fête flamande, on pourra encore rigoler dans la soirée avec le folklore socialiste communautaire

BRUXELLES 27/06 (BELGA) = L’ancien député permanent PS
Jean-Pierre De Clercq a annoncé mercredi qu’il posait sa candidature à la
présidence du PS.
Dans sa lettre de candidature, il précise notamment qu’il réunit
les conditions requises étant membre du Comité fédéral de Charleroi et
membre du PS depuis le 21 mars 1968. Il ajoute qu’il s’engage à respecter
les statuts du parti, le règlement électoral élaboré et adopté par le
Collège des secrétaires fédéraux, la Charte du militant et la Charte du
mandataire.

Bon dans les éventuels commentaires plus bas, je vous suggère de mentionner les soutiens potentiels à la candidature de De Clercq, tiens.

Ne manque plus qu’à demander la réhabilitation de Willy Burgeon.

Allez, je crée un comité de soutien ce week-end 🙂

<EDIT> Arf, j’oubliais le conseil musical. Je me souviens vous avoir parlé de Kent (ex de Starshooter, groupe rock français des années septante, préfigurant le rock alternatif).

Voici donc un morceau tout à fait approprié à Jean-Pierre : Les vraies gens

</EDIT>

Un peu…

Hier soir. Me sentir bien. Rouler un joint. Ecouter Giorgio Gaber sur le balcon. Paroles originales en main. Goûter le vent chaud. Ne plus écouter. Penser à l’Italie. Et penser… Sourire. Allumer le cône.

Ce matin. Me réveiller. Me lever. M’étirer. Boire une gorgée d’eau. Sortir le Lavazza, préparer la moka. Dire bonjour au chat. Constater qu’il fait toujours beau. Sortir à moitié éveillé. Passer par le marché. Sourire aux vraies gens*. Aller chercher La Repubblica. Ne pas la lire vraiment dans la file des croissants. Rentrer. Couper la messe, brancher Classic 21 pour la spéciale Rolling Stones.

Se dire qu’on a suffisament démontré son cynisme que pour pouvoir écrire ça de temps en temps.

* sera le prochain conseil musical

Mettre Georgio Gaber en conseil musical parce que Melissa ne connaît pas.

Whatever happened to my rock’n’roll? / I need more*

Iggy Pop qui soutient une bonne oeuvre : la Children’s Society, financée par l’Ecclesiestical Insurance. Il semble que le Real Wild Child se soit converti. Et ça ne me fait pas rire. Déjà que Lou Reed se lance dans une tournée très onéreuse (pour le public, pas pour lui), autocommémorative de surcroît; que les Smashing Pumpkins** ne cessent d’entretenir la flamme du revival à coups de buzz publicitaires et de pseudo retours, c’est à dire sans d’Arcy et James Iha (grosso modo on comprendra que Billy Corgan a mené bataille pour garder le nom du groupe); qu’un membre des Bérurier Noir admet avoir voté Chevènement; et que si je parle de Renaud… euh… ben non. Mieux vaut arrêter la liste et être soulagé de me contrefoutre de Bob Dylan et d’adorer George Clinton, cet éternel fauché du funk.

Mais Iggy Pop c’est une partie de ma jeunesse, c’est l’artiste pas corrompu, c’est l’incarnation de la sauvagerie et de la révolte. Qu’est-ce qu’il a besoin de prendre un coup de vieux et de penser aux générations futures? Oui, bon d’accord, il EST vieux. Mais bon quand même. A quoi ça servait d’écrire I need more, si c’est pour que je pense à présent à y accoler money ***?

* J’avais plein de titres en tête, je me suis résolu à n’en choisir que deux, finalement

** Un site pour télécharger les vieux concerts des Smashing Pumpkins : http://rspaa.niluje.net/data/

*** Chaudement recommandé ce livre (je peux le prêter, faut pas que l’Iguane gagne de l’argent ça ne lui convient pas).

Mais tout n’est pas perdu , puisque le conseil musical de ce billet, ce sont les Black Rebel Motorcycle Club (dont le nom trouve son origine dans The Wild One avec Marlon Brando). De vrais rockers, ceux-là.

Evidemment le morceau choisi c’est Whatever happened to my rock’n’roll ?

Une très bonne raison

J’ai trouvé ça .

C’est du vécu (d’ailleurs faut que je m’y mette après cette petite pause, moi)

Ce blog ira mieux…

… quand j’aurai importé les anciens articles de myspace et pris un peu de temps pour en écrire de nouvaux

STOP = signe “arrête”

Féru de nouvelles découvertes musicales, je viens de m’inscrire sur la radio internet Pandora : vous introduisez un artiste apprécié, la radio recherche les groupes approchants le système a évidemment toutes ses limites). Cela permet de voyager un peu. Ce n’est, vous l’aurez deviné, gratuit qu’à la condition d’accepter la pub (et depuis la demi-heure que je l’écoute, je n’en ai pas encore eue. Je me demande s’il reste encore ne fut-ce qu’une seule chose terrestre non-atteinte par le capitalisme.

Autre condition : habiter aux Etats-Unis. Soit. j’introduis donc mon zip code à 5 chiffres et tape à pouf, sincèrement à pouf : 12542. <EDIT oui, bon, ils devinent vite que vous n’êtes pas ricain et coupent le machin, évidemment /EDIT> L’accro à wikipedia/google que je suis, toujours en quête d’informations absurdes (la fermeture du Conways c’est dans Le Soir, il me faut donc trouver plus inédit), se laissant voyager au gré de mes questions est donc aller taper “zip code 12542” dans le moteur de recherche.

Cétait une surprise pour le peut-être ex-fumeur que je suis. Oui, une superstition m’empêche de dire que je suis un ex-fumeur. Un manque d’envie, aussi. C’est tellement plus chic d’avoir une réputation de drogué et d’alcoolique, de gars en dehors des convenances et du convenable. Surtout par rapport à des non-fumeurs excités par le mince filet sortant de votre bouche et qui, du haut de leurs quatre roues motrices, vous assimilent illico à l’incinérateur de Drogenbos.

NB : Ah ben non, allez voir vous-mêmes.

Conseil musical : Arcade Fire que j’écoute quand je n’écoute plus !!! (voir post précédent). Ou bien c’est l’inverse.


Album : Funeral; morceau Neighboorhood#2 Laïka

Vive les djeunes!!!

(il y a 15 jours, un samedi, en mon for intérieur) C’est qui tous ces rappeurs à la con ? C’est nul, Sniper. Et Booba, alors

Bouba, Bouba, mon petit ourson entonne Madeleine. Ah non c’est pas ça, s’exclame-t-elle*

Madeleine, c’est la directrice de Samarcande. Soit une AMO (service d’Aide en Milieu Ouvert) qui bosse avec des gosses (je ne mets pas “sales” ou “chieurs de”, devant : cela va de soi) dont Reda, Farid, Anouar, Pierre, Toufik**, notamment pour bricoler des émissions radio sur Campus ***. Et ils savent y faire ; de la prise de son au montage, en passant par l’interview.

Samedi dernier, en compagnie de Pauline, radio-éducatrice (?) de Samarcande, j’étais en face d’eux. Pour la première fois, je voyais des jeunes à l’état sauvage. Objectif : leur décrire une semaine d’activités antisécuritaire (dont je tairai le stupide nom, digne d’une trouvaille d’attaché de presse de José Happart), y demander leur adhésion et leur participation.

Putaaaaaain. Je suis en train d’écouter Sonic Youth en charentaises, là (moi, constat effrayé il y a 15 jours)

Mais qu’est-ce que j’allais pouvoir leur raconter ? Veni vidi vici, c’était pas gagné. Comment peut-on expliquer, ou plutôt faire prendre conscience (parce que bien sûr j’ai raison) et à débattre, sans imposer, sans manipuler. Comment éviter les termes corrélation, dichotomie, capital culturel (non, je ne parle pas de Mons), rhizome et arriver à un résultat ? Donc qu’ils soient d’accord ou adoptent au moins une position de gauche.

A propos des students de l’ULB : Les mentalités ont changé, dis (WF, il y a un mois au Gauguin)

C’est sûr que le quartier devient de plus en plus bourge. Même le café de l’université est devenu sélect (moi, qui lui réponds).

Moi j’ai connu la chope à 8 francs au TD, hein (SP, rescapé)

Ouais, je vais à A’dam mais je ramène rien, j’ai pas envie de stresser dans le train (GB, hier)

Bref, toutes ces interrogations pour décrire un machin qui s’appelle Plate-forme Globale Jeunesse, association pour l’instant ponctuelle de pros du secteur, euh non des secteurs, aide à la jeunesse et politique socioculturelle de jeunesse elle-même entre autre divisées en sous-secteurs centres de jeunes et organisations de jeunesse. Vous voyez que c’est pas simple. Bon, c’est là que j’ai constaté qu’on peut être jeune et de gauche sans que des adultes passent avant pour faire de grands discours. Le jeune est naturellement bon et intelligent.

C’est qu’en effet ils connaissaient tout ça, les djeunes : z’avaient déjà été voir du bon côté des barreaux à quoi ressemblait un IPPJ, avaient réalisé une émission radio sur les liens écoles-police que si la Plante verte et Un Homme vous en avaient pas parlé , et , vous ne seriez sans doute pas au courant (plus d’infos ici).

Moi c’est clair que je la sens mon horloge biologique (AB de temps en temps)

Putain, il y a inflation de bébés à Saint-Gilles (WF ponctuellement)

Donc, moi qui en étais à songer devant mon miroir :

ma peau commence à être marquée, je dois sans doute vieillir,

voilà qu’une bande de jeunes me réinjecte une dose de Rétinol Roc, soin anti-âges. de la part d’être humains qui n’écoutent peut-être pas encore Sonic Youth mais se passent en tout cas très bien de pantoufles, vont en Hollande pour des raisons autres que touristiques, se souviennent à peine du franc belge et de son rattachement au mark fort et enfin, pensent que l’horloge biologique c’est une Swatch en métal recyclé à partir de cannettes… Ca fait du bien.

Ben on voulait aussi voir Aka Moon, mais la voiture était déjà garée alors c’était pas possible (WF il y a une semaine).

Non, mais c’est vrai en plus (la même, qui insiste)

Ouais, c’est pas encore gagné.

*en fait si, c’est malheureusement ça
** désolé pour les prénoms mal orthographiés, ceux que j’oublie, etc.
*** Samarc’Onde le mercredi 14h-15h

Conseil musical : bon j’ai découvert les petits lecteurs flash qui permettent d’écouter directement, donc je vous re-conseille Peter Licht
Gerader Weg :

” A noter aussi : Anaïs, Lisa Germano et Charline Rose aux Nuits Botanique le même soir (10/05). J’en suis.

Superficialités énervées

Envie de râler sur trois choses.

Il paraît que je râle beaucoup, mais mon prochain post sera joyeux. Non, non, sans dèc. :

1. Les cons et la priorité de droite inamovible :

Depuis que la priorité est maintenue malgré l’arrêt, certains ont semble-t-il décidé de mourir dans leur droit.
Dès lors que personne ne vient de leur gauche, ces crétins foncent. Persuadés qu’en cas d’accrochage, ils ne seront pas en tort. Moi qui suis en vélo et n’apprécie les voitures en ville que dans des circonstances particulières (à l’automne et dans une banlieue juste après qu’un flic se soit un peu défoulé), ça me fout les boules et y a des engueulades qui se perdent.
Autre souci, mais probablement provisoire celui-là : la priorité de droite absolue a mis un sérieux frein à la courtoisie au volant : plus personne ne cède le passage à personne, le principe de la tirette n’existe plus non plus, les automobilistes sont déstabilisés, ce qui risque bien de déséquilibrer le cycliste que je suis et d’entraîner dans la chute ma passion pour le déplacement alternatif.

2. Les CD “pas chers”.

J’ai toujours pensé que le CD est un bel objet et que cela peut donc être agréable d’acheter l’album d’un artiste particulièrement apprécié ou encore celui d’un indépendant. Je pense que cette époque est révolue. Mes trois derniers, les Peel sessions de PJ Harvey, With_Teeth de Nine Inch Nails et Real Life de Joan as Police Woman sont dénués de paroles, de remerciements, de photos. Bref du livret bien épais que l’on s’empresse de feuilleter à la première écoute et que pour les Peel sessions c’était tout de même la moindre des choses putain de bordel de tête. Non, mais franchement.
Bref mon budget musical ira donc désormais intégralement vers l’achat de médiapass à la Médiathèque, les concerts, les T-shirts, affiches et bières qui vont avec.
D’ailleurs je vais voir Nine Inch Nails le 19/03 et Joan as Police Woman le 08/04, tous deux à l’AB. J’aurai des beaux T-shirts. Na!

3. Ca y est, j’ai oublié la troisième superficialité. Parce qu’honnêtement, ça en est : Ich bin ein klein-burger aurait dit Kennedy en arrivant au Mc Do de la capitale germanique.

Conseil musical : outre les trois artistes cités plus haut, écoutez OP8, alliance de Giant Sand et Lisa Germano pour un album : Slush (1997)
Et pis suis à deux mois, un jour et 23 heures sans clope. Yes et je n’ai plus grossi. Re Yes

Poulet à la niçoise aux 1er et 3è degrés

– un poulet de 1,2 kg
– 20g de beurre
– huile d’olive
– 1 dl de vin blanc
– 1dl de fondue de tomate
– 1 gousse d’ail
– 4 fonds d’artichauts
– 2 courgettes
– une dizaine d’olives noires

1. Préparer le poulet, le découper en morceaux.

2. Faire chaufer le beurre avec deux cuillerées à soupe d’huile d’olive dans une cocotte et dorer les morceaux de poulet de tous les cotés pendant 8 à 10 min.

3. Saler et poivrer. Couvrir et cuire 15 min. à feu doux.

4. Retirer le poulet et jeter l’huile.

5. Verser le vin blanc et la fondue de tomate dans la cocotte, saler et poivrer, mélanger, puis ajouter la gousse d’ail écrasée, y remettre les morceaux de poulet et faire cuire encore de 10 à 12 min.

6. Pendant la cuisson du poulet, préparer les fonds d’artichauds.

7. Eplucher les courgettes, les couper en dés et les faire sauuter à la poêlle avec deux cuillerées à soupe d’huile. Ajouter les olives dans la cocotte.

8. Disposer le poulet dans le plat de service, l’entourer d’artichauts et de courgettes et le napper de la sauce.

Source : Larousse de la cuisine, p. 594.
Rhôôôôôôôôôôô c’était délicieux ce midi, chaque ingrédient gardait sa saveur. Je me suis même amusé à faire la fondue de tomates moi-même. 100 fois meilleur que le poulet basquaise.

Ah oui : je l’ai fait dans un wok et pas dans une cocotte, sans courgettes et avec des filets de poulet .

Conseil musical et al. : bon j’ai cuisiné avec Peter Licht, déjà conseillé. Changeons donc de répertoire et évoquons la sortie prochaine de l’album (oui, oui, malgré un manager catasrophique) RionsnoiR. Concert le 16 mars au… Tavernier (cimetière d’Ixelles). je les ai vu jouer dans une chouette maison de jeunes (une maison de jeunes c’est toujours chouette. Où alors c’est cool) hier soir : l’antichambre qui se lance dans une campagne “un mois contre L'(T)Errorisme”. A suivre, donc

ça va comme ça

Post écrit à la demande de ODE

Bon donc il  faut trouver des trucs “secrets”, mais suffisamment anodins que pour  le révéler à mes… quelques visiteurs, en ce compris des membres de ma famille,  des amis, etc. Donc je ne peux pas parler de mon appartenance à Al-Quaïda (comment augmenter son nombre de  lecteurs automatiques en affolant les PC du Pentagone), mes amours avec Albert II (comment  augmenter son nombre de lecteurs en racolant simultanément les amateurs de  fesse homo, Anne Quévrin et les anarchistes fans du complot “ballets  roses”), ou encore mes torchages de gueule avec Vincent Cassel (comment  augmenter de 1 son nombre de lectrice italienne ancien mannequin).

Ce truc des “5 secrets” ça tourne tellement que je sais même plus à qui le bazarder. Quoi qu’il en soit, c’est la première et la dernière fois que je le réalise


1. Je  n’aime pas les coqs. Ayant vécu à la campagne, mes parents avaient quelques animaux de basse-cour. Dont un coq. Et moi, à quatre ans, j’avais à cœur de pisser à travers la clôture. Vu la taille de l’engin, celui-ci a un jour été confondu avec un ver  de terre. Pas de séquelles. Sauf pour les coqs.

2. J’aime le bleu. A 15  ans, en plein dans ma période rock alternatif français : René Binamé c’est des  rois, Béru c’est des empereurs (tomato ketchup), je me suis teint les cheveux  au bleu de méthylène. De même que le jean. Au premier shampoing, j’ai constaté, tout dépité, que ma couleur disparaissait. J’ai quand même eu l’occasion d’aller un jour à l’école ainsi vêtu et chevelu. Pas de séquelles. Sauf pour quelques vieux profs.

3. Je  n’aime pas les poulets (ce n’est pas comme un certain brésilien d’adoption).  Vers le même âge, un ancien copain et moi avons envoyé une lettre anonyme à un  pas copain. Lettre au contenu sexuel explicite et de fort mauvais goût.  Pas de  chance, nous fûmes démasqués quelques jours plus tard (on peut ne pas être  futé) et convoqués à la gendarmerie. Eh oui, pour les affaires de moeurs impliquant des mineurs d’âge, le Procureur du Roi diligente automatiquement une instruction, qu’il y ait plainte ou non. Du coup, convocation, interrogatoire devant machine à écrire, comme dans Navarro, etc. Après 5 minutes, je pleurais. J’ai eu honte. Séquelle : je me suis promis que ça ne m’arriverait plus. Effectivement, je n’ai plus jamais été attrapé:-)

4. Je n’aime pas les djembés. Lorsque j’étais en première candi, je me suis fait taper sur la gueule par une bande de  petits jeunes. Interrompant ainsi ma séance de djembés*-joint au soleil (depuis  le processus de Bologne, je pense qu’on dit blocus). Ils étaient tous NA comme  disent les flics, soit Nord-Africains. Ils ne peuvent plus dire bougnoules,  alors ils utilisent NA en le prononçant avec autant de mépris que s’ils disaient bougnoule. Va t’en dénoncer au  Centre pour l’Egalité des Chances et la Lutte contre le Racisme d’avoir été  traité de NA. Déjà quand on te balance du bougnoule, c’est pas gagné, alors NA.

Physiquement,  ce n’a pas été très violent. Mentalement, ça m’a fait de l’effet. Deux heures plus tard et pour la seule fois de ma vie, j’ai été raciste durant cinq  minutes. Je me suis fait interrompre avant la sixième minute de craquage  nerveux. Oui, ça sert à ça les amis. Pas de séquelle.

* je  précise : je n’ai heureusement jamais joué de djembé, c’étaient des potes.

5. J’aimais les TD. J’ai  un jour (21 ans ?) déclaré ma flamme devant la porte de la salle Jefke. Avec les mecs bourrés tentent de rouler une pelle à la fille à qui tu promets n’importe quoi. Pas de séquelle, même pour les TD : ils perdurent.

Bon, j’ai du mal à sortir de Sonic Youth et de leur morceau Incinnerate sur l’album Rather Ripped. Ou quand j’en sors c’est pour écouter Lights Out, toujours sur Rather Ripped. Malgré cela, j’écoute encore autre chose. Et il me semble ne pas encore avoir conseillé The Knife, duo nordique difficilement définissable.Qu’il m’est heureusement impossible de classer en folk. Vous pouvez aussi les écouter ici.

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