Peter Licht

Je devais publier quelques notes que j’ai bien entendu oubliées au boulot. Notamment sur la soirée les femmes s’en mêlent au Botanique le 10 mai.

A défaut, je vous fais donc (ré-)écouter Peter Licht, déjà évoqué dans un précédent post. Je ne m’en lasse pas et je ne sais pas trop pourquoi. Sans doute que c’est beau, cette pop allemande désillusionnée dont je ne comprends qu’à peine les paroles.

dans l’ordre : Das Absolute Glück; Das Ende vom Kapitalismus; Elektroreise; die transsylvanische Verwandte ist da; Wettentspannen

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